Sofia Athena Corleone Age : 18 ans Profession : Lycéenne Situation : En couple Caractère : Tête brûlée;; Charmeuse;; Espiègle;; Sûre d'elle Avatar : Leighton Meester

Le charme des églises italiennes n'avait son pareil nul part ailleurs hors des frontières italiennes. Peut être en Grèce, et encore, il s'agissait là d'une affirmation que l'on se devait de vérifier si on tenait un temps soit peu à la soutenir devant elle, Sofia Athena Corleone, fille de feu Signore Corleone, celui qui avait tant fait parler de lui autrefois en se remariant à une femme plus jeune que son propre fils ! Qu'est ce que son père aurait pensé de tout cela, de ce mariage, de tous ces gens faux culs qui avaient simplement fait le déplacement pour se faire voir, alors qu'elle, elle leur aurait bien dit à tous d'aller se faire voir, ailleurs, loin d'ici, pas ici, surtout pas ici ? A moins que tous ne soient venus dans le but de sauver leur tête et leurs miches ... Après tout, peut être fallait-il les comprendre, Fabio n'était pas l'homme le plus sympathique que la terre ne porte ! Il n'était même pas capable de l'aimer, elle, sa délicieuse petite soeur, bon, okay, demi-soeur, mais qu'est ce que cela changeait, lorsqu'on savait qu'ils avaient le même père, encore présent dans la mémoire de tous malgré le fait qu'il soit rendu six pieds sous terre depuis déjà un paquet d'années. Tout en remontant un peu sa robe bustier, refusant de laisser celle ci descendre au point que son décolleté n'est plus rien de mystérieux, la jeune fille songeait à cela, en fronçant le nez, comme elle le faisait si bien, en symbole parfait de ce que pouvait être une moue à la Sofia Corleone. Son père ... Elle n'en avait plus grand souvenir, sûrement parce qu'elle n'était encore qu'une enfant lorsqu'il était mort, sûrement aussi parce que, en vie, il n'était pas sans cesse auprès d'elle, débordé qu'il était par toutes ces responsabilités. Mais bon, ce n'était pas comme si elle n'obtenait pas de lui tout ce qu'elle désirait ... Il lui suffisait de demander, d'émettre l'idée à l'un des employés de maison qu'elle aimerait bien avoir un joli poulain pour son 7ème anniversaire, à la robe d'un noir pur, et dans la journée qui suivait, ou presque, elle recevait ce qu'elle n'avait pourtant demandé qu'une seule fois et à demi mots. Comment expliquer le fait, alors, qu'à la mort de son dit Papa, elle n'avait strictement rien touché ? Elle avait mis du temps avant d'apprendre la terrible nouvelle, à la mort de sa mère en fait. Oui, jusque là, elle n'avait pas accès à ses comptes, mais par la suite, se retrouvant orpheline, elle était tombée sur les fesses en se retrouvant bec dans l'eau, avec si peu de liquidité que cela en était affligeant. Son père ne lui avait rien légué, rien, si ce n'était son nom et le prestige qui allait avec ... Tu parles, elle avait été obligée de faire le trottoir pour pouvoir décemment vivre ! Levant les yeux au ciel en se disant que si sa nounou d'enfance, qu'elle appelait affectueusement Nonna-Nina, et qui s'appelait en réalité Honorina, était là, elle lui tapoterait sur la main en la regardant avec une lueur désapprobatrice dans les yeux. Nonna-Nina, qui s'était aussi bien chargée de ses couches sales que de celles de son frère lorsque celui ci n'était encore qu'un nourrisson braillard pas encore en mesure de menacer qui que ce soit, avait le don de lire dans vos pensées, ou presque. La jeune femme s'en rappelait encore aujourd'hui, c'était flippant. Oui, elle était dans une église, oui, c'était le mariage de son demi-frère aujourd'hui, et, oui, c'était très mal d'avoir toutes ces pensées impies, mais qu'est ce que ça pouvait bien lui faire ? Mordillant nerveusement sa lèvre inférieure, elle grimaça un court instant en se disant que ces fabricants de cosmétique devraient réellement faire en sorte que leurs rouges à lèvres soient moins dégueulasses lorsque, par mégarde, ou je m'en foutisme, on en ingérait un peu en s'humectant les lèvres ou en se les mordillant. De toute façon, même si, soit disant, cela allait attirer les foudres du Saint Père sur les deux futurs mariés, qu'est ce que Sofia pouvait bien en avoir à faire ? Son frère méritait qu'on lui tape sur les doigts, lui qui se croyait tout permis, y compris de tourner le dos à l'une des plus clinquantes valeurs italiennes, à savoir la famille. Bon, okay, ce ne serait certes pas cool pour Stefania, contre qui Sofia n'avait absolument rien, mais elle aussi avait dû faire des bêtises et méritait châtiment. Le simple fait d'avoir donné des enfants à Fabio était une erreur. Oui, Clemente et Ada étaient vraiment trop choupinous craquants, mais ils devenaient en ligne direct les héritiers de Fabio, qui avait sûrement un sacré paquet de pognon sur son milliard de comptes en banque ! Sans héritier, ce serait sûrement elle qui hériterait ... La vie était réellement injuste pour elle. Mais bon, ce n'était pas comme si elle n'était pas littéralement dingue de son neveu et de sa nièce, même si elle n'était pas sans cesse rendue avec eux. Elle n'allait jamais chez son frère, sauf quand il n'était pas là. Bah ouais, quand le lion n'est pas là, la lionne elle fait la fête mon p'tit père !

Cette robe était un peu petite peut être. Bien que peu prude niveau exhibition, elle aurait voulu que sa robe-bustier ne laisse pas entrevoir autant de centimètres de jambes ... Quant à la taille, si au niveau de la poitrine, c'était impec', niveau tour de taille, ça collait moins ! Pourtant, elle avait été se faire la robe sur mesure, dans une boutique spécialisée, la même qui avait confectionné la robe de mariée de Stefania. Les deux jeunes femmes y étaient allées ensemble, et au moment de payer, la future mariée avait adressé un clin d'oeil à la jeune fille, lui disant que c'était Fabio qui régalait, et qu'il n'en saurait rien si aucune d'entre elles ne le lui disait. Sofia en venait à se demander si, justement, une langue ne s'était pas un peu trop déliée, et si, de rage, son demi-frère n'avait pas convaincu la couturière de revoir certaines mesures à la hausse et d'autres à la baisse, ceci expliquerait donc ainsi cela. Mais elle n'allait tout de même pas trop se plaindre, la robe devait lui aller à merveille car elle sentait sur elle tout un tas de regards, certains plus lubriques que d'autres, d'autres plus haineux que jamais. Oui, il ne fallait pas croire, dans cette foule, bon nombre de demoiselles aimerait être à sa place, demi-soeurs de l'un des hommes les plus riches et puissants de la ville, si ce n'était le plus riche et puissant. Mais Sofia trouvait que tout cela avait un côté trasho-vulgaire, très malsain aussi. Ce n'était un secret pour personne, Fabio avait un physique de Dieu, et toutes, elles auraient tellement voulu être à la place de Stefania ... De ce fait, savoir qu'elles rêvaient pour les mêmes raisons d'être à la sienne, c'était répugnant ! L'inceste ? Non merci, pas avec un vieux comme Fabio ! Oui, 27 ans de différence, ça fait un peu beaucoup quand même, et tout dieu romain qu'il était, c'était son demi-frère, son demi-frère, bordel de merde ! Elle avait viré l'une de ces pestes en arrivant tout à l'heure, la petite maligne ayant réussi à faire croire au jeune homme chargé de placer les invités selon le plan de placement qu'elle était Sofia Corleone. Mais il sortait d'où lui, pour ne même pas savoir que la soeur de Fabio ne pouvait pas être une blondasse aux yeux verts à l'accent russe de merde ?! Et elle, elle croyait réellement que, sous prétexte que c'était le mariage de son demi-frère et de Stefania qu'elle appréciait réellement beaucoup, elle n'allait pas se retenir de créer un esclandre en lui bottant l'arrière train à coup de Jimmy Choo aux talons aiguille vertigineux ? Elle se mettait son doit manucuré dans l'oeil, jusqu'à l'omoplate, au moins ! C'était sa place, assurée par Stefania elle même, qui l'avait placé au premier rang, pas forcément dans les places faisant face à l'autel, mais au premier rang tout de même. Et puis, de là, elle avait une vue quasi parfaite sur son petit ami de Donatello qui avait été embauché exprès pour jouer de la guitare. Certes, la première fois, elle avait dû décocher un regard à vous tuer n'importe qui sur le gens, et ce au vioque assis à côté d'elle, sûrement un vieil oncle de Fabio du côté de sa mère, un truc dans le genre, parce qu'il était vraiment trop vieux et ridé pour être un Corleone, voyons, c'était évident. Le papi prenait toute la place en se balançant sans cesse en avant, comme assis dans un bon vieux rocking chair, gâchant une bonne partie du panorama de la jeune femme. Non mais sérieux, s'il ne s'était pas arrêté, elle aurait été capable de le ramener elle même à la maison de retraite dont on avait dû le tirer pour qu'il assiste à la cérémonie, ou plutôt, non, elle aurait réussi à obtenir de quelqu'un cette faveur, en ayant simplement besoin de battre si bien de ces longs cils ourlés de mascara, comme elle savait si bien le faire. C'était donc vers Donatello, et pratiquement seulement vers lui qu'elle pouvait à présent battre des cils, lui adressant quelques clins d'oeil, des oeillades appuyés, et en profitait pour également lui envoyer de délicieux baisers. Woo, ça allait être chaud le bal tout à l'heure !

La cérémonie allait bientôt commencer, la jeune femme fouillait dans son sac pour trouver son LG enV VX9900, qui s'était soudainement mis à vibrer, et la tension se faisait ressentir parmi les convives. Sans même relever le regard, bien trop occupée à répondre à l'un de ses amis qu'il pouvait bien aller se faire voir, que même bourrée, elle ne coucherait jamais avec lui, Sofia roulait des yeux. Mais oui, elle allait venir Stefa', elle allait se pointer, marcher comme une déesse dans sa canon de robe, pas blanche parce que, bon, le curé aurait tiqué puisqu'elle n'était logiquement plus vierge car mère de jumeaux, et éblouir tout le monde par sa beauté. Et son iceberg de frère, qui se tenait sûrement pour le moment droit comme un i devant l'autel, mains jointes devant lui, et bien, avec un peu de chance, il verserait peut être même une petite larme, mais ça, ça ne durerait pas trop longtemps. Après, il allait s'empresser de jeter un regard noir dans l'assemblée à quiconque de la gente masculine s'oublierait en bavant tel le loup de Tex Avery devant celle qui ne serait alors encore que sa fiancée, mais plus pour longtemps. Elle se mit à sourire en se disant que, peut être, cela serait-il marrant si elle criait qu'elle s'opposait à cette union lorsque le curé poserait la fatidique question. Ce n'était pas comme si Fabio allait encore plus la détester, il était déjà à fond dans la haine vis à vis d'elle visiblement, quoi que, non, quand même pas, il la tolérait, sans plus, mais n'avait jamais clairement dit qu'il allait la descendre ! Et puis, elle comptait bien l'attraper lui aussi dans ses filets, pas pour coucher avec lui, pervers, mais bel et bien pour pouvoir avoir des explications sur un bon nombre de choses et pouvoir à son tour, comme lorsqu'elle était petite et que leur père était encore en vie, profiter de tous les avantages qu'apportait le fait de se dénommer Corleone. Mais c'est cet instant là que choisirent des harpies, ou un truc dans le genre, pour pousser des cris stridents, venant couvrir les notes de la guitare de son petit ami et troubler ses rêves fous, mesquins et vils, sournois même. Cris qui résonnèrent de nouveau, mais plus fort, quelques secondes après, alors que la jeune femme s'était levée de sa chaise, avait refermé d'un coup sec son portable et son sac, avant de passer une main mi rageuse mi lasse sur sa robe-bustier. Lorsque Donatello s'approcha d'elle, après avoir laissé en plan sa guitare, elle se contenta de hausser les épaules. Certains disaient que Stefa' avait disparu, et elle n'était pas en mesure de confirmer ou d'affirmer la chose. Hey, on lui disait presque jamais rien à elle, et puis, elle était restée là, tout près de l'autel, au premier rang, comment aurait-elle pu être détentrice d'infos ? Cependant, cela allait être une super journée, ça oui ... Fabio était un sanguin, pire que Papa Corleone qui en tenait pourtant une sacrée couche. Et le voir quitter ainsi sa place juste à côté du prête indiquait trois choses : il allait démolir la moindre personne se trouvant sur sa route et s'avisant de le contredire ou de glander alors qu'il ne fallait pas, qu'il allait faire remuer ciel et terre par tous jusqu'à ce qu'on retrouve Stefa', et ce même si, pour ça, il allait devoir faire aussi bosser des gosses, et puis, cela indiquait aussi le fait que ce ne serait pas encore aujourd'hui qu'elle pourrait se rapprocher de lui. Elle avait pensé que de danser avec lui, comme le lui avait promis Stefa' en lui jurant d'intercéder en sa faveur devant Fabio lui même qui ne pouvait jamais rien lui refuser même pas ça, et bien cela les aiderait à tendre des ponts entre eux. Et bien ça ne se ferait pas, et elle se prit à en vouloir un peu à Stefa'. Sauf qu'elle sentait en elle quelque chose poindre sous ce masque de détachement et d'insensibilité qu'elle affichait : elle connaissait assez la jeune femme pour savoir qu'elle ne serait jamais partie d'elle même sans emmener avec elle ses enfants, si ? La chapelle se vidait à une vitesse folle, et la jeune femme rejeta d'une main las sa crinière brune aux reflets auburn, à moins que ce ne soit le contraire, en arrière. « Quelqu'un a de la vodka ? » Non, elle ne se moquait pas royalement de ce qui pouvait être survenu à Stefania, pas du tout même, mais elle se voyait mal aller consoler et rassurer Fabio. Petite soeur Princesse va faire câlin à grand tyran qui fait peur à tout le monde ? Nan, sans façon, ce n'était sûrement pas le moment d'aller chatouiller son demi-frère, ho, ça nan ! Il était raide dingue de sa chose, heu, pardon, de sa fiancée, pour pouvoir esquisser un sourire en prétendant que tout ceci n'était rien, qu'il y avait sûrement une explication, qu'elle reviendrait, qu'on la retrouverait, qu'il ne fallait surtout pas se faire de sang d'encre. Par réflexe, elle passa le bras dans celui de Donatello, histoire de ne pas se sentir seule, et surtout, de ne pas se laisser emporter par ce reste de foule présent dans la chapelle, qui semblait vouloir tester l'effet entonnoir. Hey, la sortie, elle fait une certaine largeur, pas la peine de se pousser les uns les autres, de s'y engouffrer en espérant que, peut être, les murs vieux de centaines d'années allaient avoir peur de tout et s'écarter sur notre passage. Posant sa tête sur l'épaule de son petit ami, elle laissait divaguer les doigts de sa main qui finirent par crocheter ceux de la main du jeune homme, s'y mêlant. « Pourquoi faut-il qu'il se sente obligé de tout faire dans la démesure ? Un mariage qui se déroule impec', ça lui convenait pas ? ... Je veux pas rester ici, il serait capable de passer ses nerfs sur moi, alors que j'y suis pour rien ... »

Pseudo/prénom : Twix Age réel : 19 ans Un commentaire ? : I love Gagou

SofIIIIIIIIIIIIa :)
Bienvenue

Ma Twixyyyyyyyyyyyyyyyy ! Ma petite barre chocolatée ! Ma puce ! Ma beauté !
... Oup's ! ---->[]
Bienvenue ma poulette !

Je sens que Don' va souffrir ^^

Wouf !

Mon Dieu... Il va falloir vous surveiller je le sens ! xD

*remue la queue* ->

Mais attendez le RP pour faire ça ! Roooooh ! xD

Fait gaff' ! Grrr !

Tu sais trop bien jouer de tes charmes ma belle ! ;)

Ta demande de location est acceptée, mais comme tu m'as embêtée par MP (a), je te charge de corvée de poubelle pour la semaine, Roberto en a assez fait comme ça (a)